Iran - against repression for mine workers
PROVINCE DE YAZD CONDAMNATIONS A DES PEINES DE FLAGELLATION ET DE PRISON POUR DES MINEURS GRÉVISTES DE LA MINE DE FER DE LA VILLE DE BAFGH
Province de Yazd condamnations a des peines de flagellation et de prison pour des mineurs grévistes de la mine de fer de la ville de Bafgh.
4 et 6 Avril 2015 nouvelles qui nous sont parvenues via la page Facebook d'oppositionFreedom Messenger et le site Radio Zamaneh : Cinq travailleurs gréviste des mines de fer de la ville de Bafgh située dans la Province de Yazd au centre de l'Iran, ont été condamnés à des peines de flagellation et à des lourdes peines de prison, pour avoir protesté l'année dernière contre les bas salaires, ainsi que contre une vague de licenciements qui risquaient de mettre à la rue, des centaine de leurs camarades.
Un « Tribunal Révolutionnaire » Iranien à la solde du régime théocratique et fasciste desMollahs, a fait condamner Cinq travailleurs gréviste de la mine de Bafgh à des peines d'un an de prison assorties de peines coups de fouet, pour de soi-disant « Troubles à l'ordre public », parce qu'ils avaient activement participé aux mouvements de grèves et aux manifestations populaires massives contre un plan de licenciements. Une gréve qui avait paralysé pendant plusieurs semaines cette entreprise qui est considérée comme l'une des plus grande mines de minerai de fer du moyen Orient.
Au cours de ces deux dernières années, des milliers de travailleurs de la mine de fer deChadormalu, située prés de la ville de Bafgh dans la province Iranienne centrale de Yazd, ont organisé à plusieurs reprises une série de piquets de grèves, des rassemblements et des sit-in pour protester contre les bas salaires et contre une vague de licenciements secs, faisant suite à un plan de privatisation partielle de leur entreprise.
A la suite de ces grèves des dizaines de travailleurs avaient été arrêtés et convoqués devant des « Tribunaux Révolutionnaires » locaux, à la demande des employeurs. Un premier groupe de 38 travailleurs avaient été arrêtés en Février 2014, mais ils furent libérés quelques jours plus tard. Par la suite quelques semaines après , début Mars 2014 un second groupe de 31 travailleurs furent convoqués devant ces mêmes Tribunaux pour les mêmes accusations de « Troubles à l'ordre public » . Un récente décision de cette même Cour a été délivrée contre les membres de ce deuxième groupe de 31 grévistes, et décidé arbitrairement que Cinq d'entre eux allaient être condamnés à des peines de prison et de flagellation.
Vers la fin du mouvement de grève de l'année dernière, la direction et les employeurs de l'entreprise minière qui avaient quand même du céder sur une grande partie des revendications des travailleurs*1, avaient cependant présenté à la police locale un« Dossier spécial de plainte », décrivant et désignant ces Cinq travailleurs, comme étant les principaux « Meneurs » et les responsables directs, du déclenchement des mouvements sociaux. Tout en demandant à ce qu'ils subissent à titre d'exemple des châtiments sévères.
Avec les mêmes prétextes fallacieux de « Troubles à l'ordre public » l'année dernière un autre « Tribunal Révolutionnaire » Iranien, avait fait lui aussi condamner à des peines de six mois de prison et a subir cinquante coups de fouet. Quatre autres travailleurs parce qu'ils avaient participé à un mouvement de grève massif dans l'industrie pétrochimique,
4 et 6 Avril 2015 nouvelles qui nous sont parvenues via la page Facebook d'oppositionFreedom Messenger et le site Radio Zamaneh : Cinq travailleurs gréviste des mines de fer de la ville de Bafgh située dans la Province de Yazd au centre de l'Iran, ont été condamnés à des peines de flagellation et à des lourdes peines de prison, pour avoir protesté l'année dernière contre les bas salaires, ainsi que contre une vague de licenciements qui risquaient de mettre à la rue, des centaine de leurs camarades.
Un « Tribunal Révolutionnaire » Iranien à la solde du régime théocratique et fasciste desMollahs, a fait condamner Cinq travailleurs gréviste de la mine de Bafgh à des peines d'un an de prison assorties de peines coups de fouet, pour de soi-disant « Troubles à l'ordre public », parce qu'ils avaient activement participé aux mouvements de grèves et aux manifestations populaires massives contre un plan de licenciements. Une gréve qui avait paralysé pendant plusieurs semaines cette entreprise qui est considérée comme l'une des plus grande mines de minerai de fer du moyen Orient.
Au cours de ces deux dernières années, des milliers de travailleurs de la mine de fer deChadormalu, située prés de la ville de Bafgh dans la province Iranienne centrale de Yazd, ont organisé à plusieurs reprises une série de piquets de grèves, des rassemblements et des sit-in pour protester contre les bas salaires et contre une vague de licenciements secs, faisant suite à un plan de privatisation partielle de leur entreprise.
A la suite de ces grèves des dizaines de travailleurs avaient été arrêtés et convoqués devant des « Tribunaux Révolutionnaires » locaux, à la demande des employeurs. Un premier groupe de 38 travailleurs avaient été arrêtés en Février 2014, mais ils furent libérés quelques jours plus tard. Par la suite quelques semaines après , début Mars 2014 un second groupe de 31 travailleurs furent convoqués devant ces mêmes Tribunaux pour les mêmes accusations de « Troubles à l'ordre public » . Un récente décision de cette même Cour a été délivrée contre les membres de ce deuxième groupe de 31 grévistes, et décidé arbitrairement que Cinq d'entre eux allaient être condamnés à des peines de prison et de flagellation.
Vers la fin du mouvement de grève de l'année dernière, la direction et les employeurs de l'entreprise minière qui avaient quand même du céder sur une grande partie des revendications des travailleurs*1, avaient cependant présenté à la police locale un« Dossier spécial de plainte », décrivant et désignant ces Cinq travailleurs, comme étant les principaux « Meneurs » et les responsables directs, du déclenchement des mouvements sociaux. Tout en demandant à ce qu'ils subissent à titre d'exemple des châtiments sévères.
Avec les mêmes prétextes fallacieux de « Troubles à l'ordre public » l'année dernière un autre « Tribunal Révolutionnaire » Iranien, avait fait lui aussi condamner à des peines de six mois de prison et a subir cinquante coups de fouet. Quatre autres travailleurs parce qu'ils avaient participé à un mouvement de grève massif dans l'industrie pétrochimique,
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